Soirée Super 8 – Collection 2020

L’équipe de Regard Indépendant est heureuse de retrouver le chemin des salles et de vous présenter, à la Cinémathèque de Nice, sa collection de courts métrages en Super 8 tournés en 2020 sur le thème « Ivresse ».

Malgré les difficultés, une douzaine de cinéastes, amateurs ou confirmés, ont pu vivre l’aventure du cinéma argentique. Ils vont pouvoir découvrir leurs œuvres en compagnie de leurs équipes et du public, après de longs mois d’attente. Un jury distinguera, à l’issue de la projection, les films qui l’auront séduit.

Le programme sera complété par les films d’ateliers, toujours en Super 8, avec le concours de Regard Indépendant, deux court-métrages indits, ainsi qu’une sélection de nos partenaires, les Straight 8 de Londres et le ENS8FF, festival tourné monté super  de Neuchâtel.

Première partie : collection 2020 de courts métrages en Super 8 tourné-monté sur le thème “Ivresse”.

Seconde partie : Le Super 8 dans tous ses états, films d’ateliers, court-métrages

Le jury : Catherine Camoirano, enseignante au collège Don Bosco de Nice, Audrey Corté, médiatrice au Musée Départemental des Arts Asiatiques de Nice, Maryam Rousta Giroud, directrice du cinéma de la Ville de Nice

Lors de la soirée de présentation des courts métrages tournés-montés réalisés en 2020, le jury,
composé de Catherine Camoirano et Audrey Corté, à rendu le palmarès suivant :

Premier prix pour 15h33 un jour de septembre d’Hannaka
Pour sa musique décalée, son registre burlesque et fantasque, une ivresse sensuelle rythmée et drôle, le jeu sur le cadrage et la stop Motion.

Deuxième prix pour Le Jardin de mon père de Charbel Kamel
Pour un hommage pudique au père et son regard contemplatif, émouvant et touchant. Le portrait intime et individuel dans la solitude de son jardin. Une caméra qui soutient le regard paternel puis un portrait de famille pour en montrer sa place.
Lenteur, temps suspendu comme pour grâce au super 8, rattraper des moments perdus et combler les non-dits. Ivresse du temps qui passe et nécessité d’absorber les derniers moments grâce à la caméra.

Troisième prix pour Beyrouth Vertigo de Malak Mroueh
Pour la fragilité des mouvements de la caméra, la lumière enflammée, la bande son hypnotique, venue d’un autre monde et adaptée à l’ambiance trouble de la ville. Le spectateur est ébranlé comme la ville. Ivresse douloureuse d’une ville détruite.

 

Mentions pour

– Le scenario Le Sens d’Olga Guskova

– Le texte Qui m’a touché ? de Selim Mourad

  • Tarif: Entrée libre (jauge à 65 %)

Date

26 Juin 2021
Expired!

Heure

19h30

Lieu

Cinémathèque de Nice
Esplanade Kennedy, 3, 06300 Nice